Crédit: « On ne voit bien qu’avec le coeur » 20 avril 2015 par Rima ABDEL FATTAH MOUBAYED Il avait à peine huit ans. Il était assis sur la dernière marche d’un perron, la tête basse, le visage entre les mains. Il avait ôté ses grosses lunettes à monture noire et les avait laissées tomber à ses pieds. colère enfance featured lunettes mondoblog souvenirs